Le secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD), Abdelilah Benkirane a ouvert hier, samedi 19 février 2022, les travaux du Conseil national du PJD, tenu à Bouznika. Il s’est fait l’avocat d’Aziz Akhannouch, il a évoqué la hausse des prix et n’a pas oublié dans ses circonstances de blabla ses habituelles clowneries pour amuser la galerie.
Nous n’occulterons pas ceux que les anciens membres de l’exécutif du PJD travaillent dans cette ambiance comme Saad Dine Otmani, l’ancien secrétaire général du parti, Lahcen Daoudi, Aziz Rabbah, Jamila El Moussali, Abdelkader Amara, ou Mustafa Al-Ramid (retraite politique) pour ne citer que le réunis en session ordinaire les 19 et 20 février. Les leaders de ce parti ayant brillé par leur absence, il n’a malheureuseusement pas pu dissiper le malaise apparent que suscite cet événement.
Benkirane a décidé de ne pas s’accrocher ou faire avec les directions d’antan, notre source bien ancrée au PJD a déclaré. “Tout le monde est le bienvenu, et celui qui veut se cacher ou se retirer est libre”, nous dit aussi. Cependant, le bon vieux Benkirne ne semble pas en faire des tonnes et son apparente générosité perd tout son éclat.
source: Hespress
